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N° II – Séminaire du 20 mai 2006

Le Rose-croix parfait maçon et parfait chrétien. Le grade de Rose-croix et le Christianisme primitif

par Monsieur Jérôme Rousse Lacordaire

Ce séminaire propose un éclairage inattendu sur les sources éventuelles du grade de Rose-croix. On sait combien la question des origines est délicate et difficile, notamment parce que bien souvent les origines sont discrètes, presque invisibles parfois. Il en va ainsi des origines de la Franc-Maçonnerie, de celles du christianisme, de celles du Rose-croix maçon qui se réclament fréquemment, explicitement ou implicitement, à la fois de la plus haute antiquité maçonnique et de la plus haute antiquité chrétienne. Le grade de Rose-croix, attesté dès 1757, en est un révélateur d’autant plus intéressant qu’il se déploie en un rituel profondément imprégné par une symbolique chrétienne et christique. Nombreux furent en effet les maçons d’alors qui mirent ce grade de Rose-croix en relation avec des formes confessionnelles du christianisme : dès 1765, le baron de Tschoudy y vit « le catholicisme mis en grade ». Le rituel de 1765, qui a servi de thème d’étude, est retranscrit dans son intégralité à la fin du fascicule.

Les actes de ce séminaire ont été publiés dans la brochure n° II et réédités dans le brochure n° VI, toutes deux épuisées. Ils sont réédités dans la brochure n° XII.

Prix : 15 €

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